Cygnes majestueux qui m’invitent parmi eux
A contempler les étendues de terre
A naviguer parmi les masses d’air
Et à fermer les yeux pour régénérer mon feu
Vieux sage qui m’invite autour de lui à me nourrir
De connaissances empilées, parfaitement rangées,
A dévorer ses montagnes de savoir,
Pour que plus jamais ne me quitte cette envie d’aller vers la vie
Après-midi d’été qui m’invite à me connecter
A mes rêves d’enfant pour qu’au présent
Mon souffle redevienne aimant et bien vivant
Et le plaisir de jouer une réalité
Cygnes, vieux sage ou après-midi il suffit d’une attention pour savourer le sel imperceptible de la vie.
Un rien peut nous mettre en lien avec les rêves d’enfance. Source inépuisable que nous pouvons par notre endurcissement tarir à jamais.
J’ai lu ce poème comme un mode d’emploi à suivre à la lettre.
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Merci Pierre d’ajouter grâce à ton commentaire de la poésie à la poésie 🙂
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Très beau poème 🙂
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